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Résultats de la recherche : "résistance électrique"

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Chapitre 29 - Les ondes (14)


(14) Si on dispose d'une petite résistance électrique que l'on porte au rouge pendant la nuit, et que l'on se recule d'elle, on aura tôt fait de ne plus la voir à environ trois cents pas. Au contraire, en s'avançant vers la résistance, on l'entrevoit de plus en plus distinctement. Et enfin, plus près encore, on ressent la chaleur en plus de la lumière. Cela est indéniable. Si donc les photons existaient et voyageaient allègrement à plus d'un milliard de kilomètres à l'heure comme l'affirment les savants, n'arriveraient-ils pas ici à parcourir trois cents pas durant toute la nuit, à partir desquels on ne voit plus la résistance ? Y aurait-il un empêchement ? La vraie réponse, c'est qu'une petite résistance électrique ne peut provoquer qu'un petit dérangement de l'essence environnante, alors qu'une étoile porte ses vibrations au-delà de la Galaxie.





Chapitre 22 - La force universelle (5)


(5) Voici la concordance du générateur et de l'astre qui sont tous deux des aimants ayant besoin du côté APPORT et du côté DÉPENSE des électrons pour s'activer, car sans dépense il n'y a point d'apport possible et point de courant. Ici, sur la figure de gauche, la dépense est représentée par une résistance. Et, sur la figure de droite, cette dépense est représentée par un anneau (vu ici en coupe) qui, nous le verrons, ne manquera pas de donner naissance à un satellite qui sera lui aussi une véritable résistance électrique. Sur ces résistances, les électrons sont dépensés partiellement, et ce qu'il en reste retourne au générateur ou à l'astre. Il y a donc nécessité d'un circuit. Celui-ci est formé par les conducteurs aller et retour sur le générateur, et par les lignes de force aller et retour sur l'astre, qui sont pareillement des lignes électriques mais dépourvues de conducteur.





Chapitre 22 - La force universelle (27)


(27) Il nous reste donc à observer ce qu'il advient des électrons sur une résistance électrique (qui peut être le noyau d'un astre) et comment ils forment du ferronickel (le métal du noyau) lorsqu'ils se soudent entre eux. Voici comment cela se produit :


11 – Résistance et formation de perles de ferronickel




Chapitre 24 - Naissance et croissance des astres (5)


(5) Dans ce processus de naissance de l'astre, on remarque aussi que, quelle que soit la direction des électrons en orbite, ils sont tous attirés vers le point de contact. Nous savons maintenant que cela est connu de ceux qui, lors d'un court-circuit, ont remarqué que le courant installé sur le conducteur aller et retour se dirige vers le point de contact pendant la brève durée du phénomène. Ici, il en est de même, la perle métallique naissante attire à elle tout le courant. Positionnée entre les deux demi-anneaux qui ne peuvent fondre, elle est désormais un point de court-circuit constant. De ce fait, elle est forcément une résistance électrique qui, après s'être refroidie dans sa masse et aimantée dans les champs magnétiques de sa mère, s'échauffe en surface par le passage de l'anneau, jusqu'à fusionner. De la sorte, il se crée la soudure permanente des électrons qui sont l'APPORT. Ce phénomène s'opère uniformément sur le pourtour de la sphère, en la faisant croître, et devient ainsi la DÉPENSE continuelle de l'électricité formant l'anneau. La compréhension de la croissance du satellite n'est donc que la compréhension de ce qu'est une soudure...





Chapitre 24 - Naissance et croissance des astres (27)


(27) Penchons-nous alors sur ces quatre principaux satellites de Jupiter avec lesquels on saisit tous les satellites, toutes les planètes et même les étoiles ! Car plusieurs de ces quatre petits astres, sinon les quatre, deviendront étoile à leur tour. On peut donc les considérer comme s'il s'agissait de l'évolution d'un seul dans le temps. Voici comment il faut les observer :

IO, le dernier-né des quatre, est le plus proche de Jupiter. Il est pour cela fort actif et son noyau est très chaud. Encore de moindre épaisseur, son manteau souple et chaud est aux prises avec les gaz qui, abondamment produits, remontent à la surface où ils font éruption et composent peu à peu son atmosphère. Le volcanisme est donc fort intense pour le moment.

EUROPE, plus âgé que Io, est davantage éloigné de Jupiter et un peu moins chaud intérieurement. Son activité est moins intense. De ce fait, le froid extérieur domine à la surface. En raison de quoi, les gaz se liquéfient et produisent de l'eau qui se glace sur le sol. Mais sous cette glace, et en raison de la chaleur interne, l'eau existe probablement aussi à l'état liquide, infiltrée dans le manteau. Toutefois, parce que le froid contracte, les couches supérieures du manteau commencent à se rétracter sur elles-mêmes en engendrant des crevasses et de petites failles sous la glace. Nous verrons par la suite que ces failles furent sur la Terre l'origine des dorsales qui délimitent nos continents en partie immergés, car la Terre, comme tous les astres, était autrefois semblable à ces satellites.

GANYMÈDE, plus âgé que les deux précédents, est plus gros et un peu moins chaud qu'Europe, car les effets de résistance électrique diminuent au fur et à mesure de la croissance du noyau. Son activité est donc réduite en proportion. Néanmoins, le noyau reste chaud extérieurement et produit toujours des gaz en conséquence qui se condensent et se glacent pareillement sur le sol. Mais, plus longuement exposées au froid extérieur qui les affermit, les couches supérieures du manteau finissent par devenir plus étanches aux gaz. Ceux-ci s'accumulent alors progressivement sous ces couches et forment de gigantesques dômes qui éclatent tour à tour le long des siècles, en engendrant des cratères. Les poussières, produites par ces éruptions, jonchent le sol glacé.

CALLISTO, plus âgé et plus éloigné des forces vives de Jupiter, a davantage de cratères que Ganymède, parce que le phénomène de leur formation fut répété plus longtemps le long des âges. C'est pour la même raison qu'il y a encore plus de glace et de poussières qui recouvrent le sol, car chaque éruption de gaz se termine par d'abondantes cristallisations et d'abondants nuages de poussières.





Chapitre 25 - Jupiter et ses semblables (4)


(4) En fonction de ce que l'on sait maintenant sur l'activité de l'aimant, on comprend que plus les planètes engendrent des satellites, plus elles s'activent pour les nourrir. Lorsqu'on parle de leur activité électromagnétique, on entend aussi leur échauffement. Or, puisque Jupiter (que nous gardons en exemple) est un astre fortement sollicité par ses satellites, il est forcément très chaud, surtout qu'il est situé sur un vaste anneau solaire qu'il n'a jamais quitté depuis sa naissance. Cet anneau solaire, d'un grand diamètre, entraîne Jupiter dans sa rotation. Mais cet astre, avec sa masse et celle de ces satellites, représente une grande inertie. Par conséquent, l'anneau solaire, qui tourne beaucoup plus vite autour du Soleil que ne le fait Jupiter, produit un grand échauffement sur cet astre, qui est une véritable résistance électrique sur cet anneau. Et cette chaleur croît par l'augmentation de sa propre activité assurément, mais aussi parce que l'activité du Soleil augmente proportionnellement à la croissance et à la multiplication des masses planétaires qui le sollicitent. Ce qui augmente d'autant la force de ses anneaux sur lesquels elles évoluent. La température qui règne sur ces planètes est donc continuellement en progression.





Chapitre 25 - Jupiter et ses semblables (8)


(8) Expliquons pourquoi il en est ainsi. En exemple, nous savons que la formation des nuages terrestres est due à la condensation des gaz atmosphériques qui se liquéfient lors d'une brusque chute de température ; car l'eau est un corps qui passe de l'état gazeux (l'air) à l'état liquide (la mer) puis à l'état cristallin (la glace) lorsque la température chute, et inversement lorsque la température croît. Ce changement d'état est le cycle complet de l'eau qui occasionne la pluie, la neige, la glace ainsi que des pressions et des dépressions dans l'atmosphère. Or, si dans la région du ciel où nous sommes, la chaleur solaire permet la formation du cycle de l'eau (parce que la Terre n'est ni trop près ni trop loin du Soleil), dans les parages de Jupiter et plus encore dans ceux de Saturne, d'Uranus et de Neptune, la chaleur provenant du Soleil est si basse dans ces régions du ciel qu'elle ne permet nullement la formation d'un tel cycle. C'est pourquoi, l'existence de leur atmosphère tout en nuages et dans un tel gigantisme révèle une énorme et permanente chaleur interne, provenant de l'effet de résistance électrique de l'astre. Cela est incontestable et certain ; car, si tel n'était pas le cas, ces nuages deviendraient pluies, puis glace sur le sol de l'astre. Un enfant peut le concevoir.





Chapitre 25 - Jupiter et ses semblables (16)


(16) En raison de toutes ces évidences, il vous apparaît que je n'arrange pas les faits pour qu'il en soit ainsi, mais que ce sont eux qui s'unissent pour qu'il n'en soit pas autrement. L'expérience de l'électricité soufflant les gaz de la chandelle le démontre amplement, car il est évident que l'anneau solaire peut aisément créer une turbulence dans l'atmosphère. C'est pourquoi, à elle seule, la tache ovale est le témoignage formel que Jupiter est une sphère métallique légèrement plus grande que la Terre, ainsi qu'une résistance électrique et non une boule de gaz ! Soyez donc fort attentifs aux explications de Jupiter ; car, avec ses satellites, son atmosphère et sa tache rouge, cet astre est en lui la preuve irréfutable que l'électromagnétisme universel est bien tel qu'il est enseigné par le Fils de l'homme.





Chapitre 34 - L'origine de l'eau (5)


(5) L'étude de Jupiter nous a montré que ce n'est pas l'étoile mais la planète qui se prépare à briller qui produit de l'eau en abondance dans les âges. En effet, toute planète active produit de l'eau par la chaleur provenant de l'effet de résistance électrique qui transforme la matière du noyau et du manteau en gaz. Ces gaz sortent à la surface, forment l'atmosphère qui se condense par changement de température. Ainsi, peu à peu, l'astre en activité produit de l'eau. Cela signifie que, hormis les étoiles, tous les astres, même les satellites, en possèdent plus ou moins dans leur manteau. L'eau existe donc partout dans la Galaxie : sur les astres où elle est produite ou captée, et dans l'espace où elle est projetée en partie par le souffle des explosions atmosphériques.





Chapitre 36 - La formation du relief (12)


(12) Produit essentiellement par le dessous (au niveau du noyau), le manteau pousse comme la chair. Sa partie fluide c'est la lave, sa partie pâteuse et visqueuse c'est le magma, et sa partie ferme c'est le reste du manteau. Les connaissances que nous avons sur la fonte nous montrent que le métal fluide du noyau, provenant de l'effet de résistance électrique, ne peut dépasser la hauteur des chevilles d'un homme. Puis, comprenant jusqu'où la matière du manteau peut être fluide, puis visqueuse par cette chaleur, on évalue son épaisseur à une hauteur d'homme seulement. Et à l'aide de l'étude de la naissance et de la croissance du satellite, on estime que l'épaisseur totale du manteau (depuis le métal fluide jusqu'à la surface du sol) ne peut dépasser une trentaine de kilomètres dans sa plus grande épaisseur, et probablement le tiers de cette dimension dans ses parties les plus fines.




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